Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Maître ès ...

24 mai 2009

Une chanson dans la tête

J'ai repris le sport ! Courir une heure par jour alors qu'il fait 45° à l'ombre : oui, je sais, je suis maso. Les 5 premières minutes, j'ai conclu que je devrais arrêter de fumer ... mais j'ai vite repris mon souffle : donc je continue la clope !
Raison de cette motivation soudaine ?

L'appel du maillot du maillot de bain ? non, je n'en ai pas porté un depuis 1991
Éliminer un trop plein d'énergie colérique ? oui !

Et cette petite chanson, en boucle, me file vraiment la pêche pour courir dans une tenue ridicule en oubliant les badauds sur mon chemin qui me gênent (encore une envie de meurtre).

Publicité
Publicité
21 mai 2009

Un air vicié

acmeportableholeA l'heure des premières rides, j'en viens à me poser une question existentielle. En effet, si la légionellose se propage à l'aide des climatisations, que penser des ventilateurs ????

Cela fait quelques semaines, que je traîne dans les bibliothèques universitaires et je pense que l'air qui y circule est gravement contaminé !

Tout d'abord, prenez une rame de métro bondée, de préférence mi-juillet, un vendredi à 17h19.
Laissez macérer les passagers 20 bonnes minutes thermostat 7.
Sortez les passagers du wagon.
Humez profondément l'air ainsi obtenu ...
Et vous aurez une idée du délicat parfum qui émane des bibliothèques.

Parfum assez comparable à celui du bar salsa en bas de chez moi à 1h du matin ... une bonne raison pour regretter l'interdiction du tabac dans les lieux publics.

D'ailleurs, pourquoi ne pas autoriser le tabac dans tous les lieux publics ? En plus de masquer les odeurs, cela donnerait un cachet (pages jaunies = gage de qualité) non négligeable à un bon nombre d'ouvrages indignes de ce nom et pourtant présents dans les bibliothèques.

Je divague.

La raison de ma bibliothéco-airophobie est toute autre ...

Si je suis en colère, c'est parce que cet air de bibliothèque EST forcément nocif pour la ma santé. Sinon comment expliquer ce qui m'arrive ?

Telle une warrior, j'ai évité pas mal des désagréments de l'adolescence : pas d'appareil dentaire (c'est tellement plus in d'en porter un à 30 ans), pas de coupes de cheveux trop ridicules (enfin, tout est relatif) et surtout pas d'acnée !!!

Alors pourquoi y ai-je droit maintenant ?

Y a-t-il une autre explication scientifique ? Ou bien, est-ce que pendant toutes ces années de JDM, j'ai été protégée des bubons acnéiques à l'aide d'un vaccin, odacieux mélange du parfum de supermarché de Jacqueline de la compta  et des cigarillos de Jean-Yves des ressources humaines ???

20 mai 2009

Houston, on a un problème

Clopes restantes : 2
Bière restante : 1

Et demain c'est fériééééééé !!!!
Certes, je vis dans une grande ville où il est possible de trouver une papaye, des capotes, des clopes ou des BN un jour férié à 2h ... mais l'angoisse du manque possible me prend quand même à la gorge.
J'avais pas dit que j'essayais d'arrêter de fumer et de boire ???
ça serait donc pile le bon moment !!!!
Oui.
Mais non.

Les journées trifouillage de neurones m'épuisent trop.

Le plus épuisant c'est de réussir à ne commettre aucun meurtre.

Ne pas tuer la serveuse qui en me tendant mon café tous les matins me sort son éternel "oh ! vous avez mauvaise mine ce matin !".
Ne pas tuer la renifleuse qui se pose à côté de moi à la bibliothèque pile le jour où j'ai oublié mes boules quiès (jour de règles de surcroit, donc d'envie de flinguer des gens au hasard quoiqu'il arrive). Variante possible : le textoteur fou avec bip des touches activé.
Ne pas tuer les crétins torse-nus qui jouent à la baballe dans le parc et prennent mon mac pour un but  (néanmoins, grâce à eux, pour la première fois de ma vie, j'ai attrapé le ballon dans un sport d'équipe).

Et surtout, oh oui surtout, ne pas tuer les gens qui, quand ils me croisent ailleurs que dans une bibliothèque (d'ailleurs ils ne me croisent jamais dans une bibliothèque) me disent sur un ton bien ironique avec un sourire en coin "ça bosse dur à ce que je vois !" (effectivement, je suis une fumiste : écrire une thèse est synonyme de vie monacale et je vais tout de suite aller m'auto-flageller pour avoir osé sortir acheter 3 tomates et 1 yaourt à monop au lieu de bosser, connard).

19 mai 2009

Je suis censée me présenter, non ?

Vieille étudiante (bientôt 30 ans) avec un pied dans le monde merveilleux des jobs de merde où on me prend pour une dinde uni-neuronale.
Mes passions dans la vie : la 1664 blanche, les Gauloises, ma thèse, la 1664 blanche bien fraîche, me marrer en écrivant ma thèse (j'essaie de faire passer un sujet particulièrement grivois pour un sujet très pompeux et scientifique), la 1664 blanche un peu tiède quand j'ai très soif et pour finir ne pas faire la vaisselle.
J'aime aussi torturer les enfants et les animaux, ne pas écouter de musique, ne pas aller au cinéma, ne pas lire de livres et surtout ne pas faire de sport.

Publicité
Publicité
Maître ès ...
Publicité
Publicité